Après deux heures de bus nous nous retrouvons plus au nord de la côte ouest uruguayenne. Nous arrivons à Punta del Diablo, nous marchons 40 minutes sous un soleil tapant. C’est encore l’épopée pour trouver LE distributeur mais nous finissons pour en trouver un. Nous achetons quelques bricoles à manger et nous nous dirigeons vers la plage. Les enfants n’attendent que ça… Bon, loupé, c’est drapeau rouge. Il y a beaucoup de vent, il fait très chaud, il n’y a aucun loueur de parasol (bon en même temps avec le vent…). On a vraiment nul part où se protéger. Il est midi… On finit par trouver un petit resto, on achète quelques empanadas et on « squatte » un peu pour être à l’abri. Les enfants sortent vite de leur déception pour courir comme des fous sur le sable et nous, on les tartine très souvent de crème solaire. Le soleil est vraiment très fort. On va se balader. On trouve un petit marché artisanal et Barbara se trouve des jolies boucles d’oreille et un collier parce que bon, ça ne prend pas trop de place quand même dans le sac, hein ? En définitive, l’impression que nous avons est que le village ressemble à un village de vacances géant (on a l’impression qu’il y a 90% des logements qui sont des locations) avec des petites maisons complètement disparates ou les cabanes en bois se mèlent au constructions modernes et où au détour d’une rue (enfin rue… sentier de terre ou de sable) on découvre un petit château fort, et derrière quelques ruines, des artistes peintres laissent leur empreinte unique et qui sait ? éternelle ?
Quant à la pointe du diable, il s’agit d’une avancée de rochers dans l’océan où viennent se fracasser les vagues en formant des geysers immenses ponctués par les oooohh !! aaaahhh !! des enfants et de leurs parents ! 😉
Nous marchons de nouveau 40 minutes pour rejoindre la gare routière, le soleil est presque tout aussi fort mais personne ne râle et tout le monde avance. Nous rentrons épuisés mais finalement contents de notre journée. Le retour en car nous a même permis d’admirer le coucher de soleil sur une forêt de palmiers… féérique !
Maisons et paysages très intéressants !!
Oui ! Punta del diablo doit être une ville fantomatique l’hiver. Il y a beaucoup de maison à louer pour la saison estivale.
Quel inconfort imprévu!!